L'histoire d'Heriur Carnesir.
Chapitre 1 : Naissance d'une ombre
Il y a longtemps de cela, nacquis un enfant lors d'une nuit froide d'hiver. Une nuit où la lune perçais de son éclat les nuages au-dessus d'une chaumière isolée, blanchis par les flocons qui l'assailait. Seul la douce lumière d'un feu de cheminée, dansant à la vue de tous par les petites fenêtres, réchauffait ce portrait glacial. Dans son cocon de chaleur, la maison résonnais du cri de l'enfant nouvellement née. C'est une petit garçon aux yeux noirs, une nouvelle vie qui commence le jours même où la mémoire des défunts est honorée, le 2 Novambaire.
Lorsqu'il fut emmitouflé dans les douces couvertures qu'avait prévu la sache-femme éniripsa, l'enfant se calma et une fois dans les bras de sa mère, Kyana, il l'observa longuement de ses yeux sombres, en silence, comme pour découvrir et apprendre chacun des traits de son visage. Ses cheveux de jai et légèrements boucles, tombaient sur ses fines épaules zèbrant sa peau pâle, ses yeux bleus sombres resplendissaient par la lueur du feu qui se reflètait dans les larmes de joie bordant ses paupières. Pas un bruit ne troubla cet instant si ce n'est le crépitement des flammes. Soudain, la porte fut ouverte brusquement et une silhouette apparu dans l'encadrement, puis se précipita à l'intérieur. C'était le père, Aliael, un homme de grande taille et de force honnorable, du à son travail de bûcheron, bien qu'il soit incroyablement mince. Des gouttes de sueurs s'échapaient de sa chevelure brune pour envahir son front et tomber en cascade devant ses yeux noirs. Il doit travailler dure pour subvenir aux besoins de sa famille, il était d'ailleurs encore à son labeur lorsque Kaerlanor, ami de la famille l'avait prévenu. Haletant, il rejoignis sa bien-aimée, tout sourir d'avoir accomplis un miracle, ils se regardèrent longuement avant d'échanger un baiser puis se tournèrent vers l'enfant.
Aliael : "Alors, garçon ou fille ?" demanda t'il un peut nerveux.
Kyana: "C'est un garçon mon chéri, les dieux nous ont offert un fils"
Aliael eut alors un grand sourir : "ha ! un fils ! haHAHA ! c'est fantastique ! je pourrais lui apprendre mon métier, il m'aidera aux tâches, deviendra grand beau et fort et épousera une aussi belle femme qu'est sa mère "
Kyana: "hoo, vil flatteur. Bien, notre enfant doit porter un nom avant d'accomplir tout cela. T'es tu enfin décidé ?"
Aliael: "Oui, comme nous en avions parlé ma mie, le destin nous à offert un fils et de plus le jours de mémoire de nos disparus. Il portera le nom de feu mon grand-père", un héro mort au combat que j'ai peut connus mais dont l'histoire m'a toujours émerveillé. Il pris alors l'enfant dans ses bras puis dit alors d'une voix basse. "Mon fils, Hériur".
Chapitre 2 : Proche de la lumière, l'ombre grandit
Voilà treize année d'écoulé, et Hériur est devenue un enfant dont ses parents étaient fiers. Avide d'apprendre, il écoutait attentivement son père lorsqu'il lui enseignait le métier de bûcheron, certaines techniques de survie en forêt, comment se battre, comment se nourrir et comment un homme doit faire preuve d'honneur et de droiture. Kyana quand à elle, lui apprenait l'art du dessin, à écrire et lire, à s'occuper des bêtes car Kyana est une éleveuse de bouftou talentueuse, à être prudent face aux gens des villes et surtout se méfier des dieux.
Cependant, le labeur étant parfois trop dure ou demandant trop de concentration, le couple laissait souvent Hériur jouer seul. Cependant, la chaumière et son jardin était la limite de son terrain de jeux, la forêt à la lisière de leur domaine attisait constament la curiosité d'Hériur. Il resta toujours à bonne distance de celle-ci, jusqu'au jours où par lassitude de son terrain de jeux et du fait d'une chamaillerie avec ses parents, il décida d'enfreindre sa limite. Equipé d'un petit sac en cuir, de quelques vivre et d'un bâton il s'aventura dans l'étrange forêt aux arbres verdis par la mousse.
Après quelques palpitations du coeur dû à cet univers nouveau et à la maison qui s'éffaçais de plus en plus, Hériur se plus dans cet environnement. Il était déjà allé dans les bois avec son père, mais seulement dans campement de bûcheron et cela se limitait à quelques arbres clairsemés sans réel danger tant l'homme avait amménagé depuis longtemps cet endroit, tout les animaux l'évitait.Le soleil brillait et rendais le feuillage vert émeraude, cela concevais un ciel nouveaux. Le vent faisais chanter les arbres, et les oiseaux leurs répondaient de leurs plus belles mélodies. Voilà un portrait bien éloigné de ce qu'avait décris ses parents, nul danger, nul horribles créatures dévoreuses d'enfants. Le jeune fils de Kyana et Aliael s'enfonçais de plus en plus dans la forêt, sa petite taille et son poid léger lui permis d'accèder à des endroits bien dissimulés et d'avancer bien plus rapidement qu'un adulte, ses provisions le sustentèrent lorsqu'il en avait besoin. Hélas, l'avidité de découvrir ces nouvelles terres et cachettes lui fit oublier bien vite le temps qui passait et Hériur ne remarqua pas que la lumière du soleil s'aténuait petit à petit, lorsqu'il s'en rendit enfin compte, le ciel d'émeraude n'était plus et le chant des arbres et des oiseaux s'étaient tut depuis bien longtemps. Seul perdurai un silence pesant sous les colonnes des troncs soutenant une voûte de lames noires déssinés par le feuillage.
La panique pris alors l'enfant, comment faire pour rentrer ? quel chemin ai-je pris ? Vais-je mourrir ? suis-je réellement seul ? A cette dernière question, la réponse survins bien vite, des bruits de pas rapides, quelquechose qui hume l'air et rumue les buissons, des yeux de bêtes qui fixe le petit être. Hériur croisa alors le regard de la bête, il ne la voyait pas, seul deux perles brillantes trahissaient la créature. Etait-ce le froid soudain de la nuit qui tombe ou alors la peur qui glaçait son sang, quoique ce soit, son corps ne pu bouger, même lorsque la créature eu enfin sortis de sa cachette et le chargea.
La lune était la nouvelle lumière de ce nouveau monde. Elle donna assez de son éclat pour révéler le monstre caché dans ses bois, un milimulou de bonne taille, la bave dégoulinait de sa gueule suivant sa langue balotante et désireuse de laper du sang d'une proie aussi appétissante et vulnérable. Le milimulou bondit alors en avant afin de croquer sa proie, mais celle si par une chance inouïe recula d'un pas et trébucha alors sur une racine qui lui permis d'esquiver en partie le coup de la bête, qui au lieux de lui arracher la carotine lui à entaillé profondément la joue et le jetta à terre. Le choc permis alors à Hériur de se ressaisir, une seule solution face à un tel monstre, fuir. Le milimulou ne lui lassa que peut de temps pour réfléchir et fonça à nouveau pour tuer, mais c'est alors que l'enfant pris en main son bâton et d'un coup sec et violent frappa les partie intime de l'animal qui glapit alors de douleur et du mettre un genou à terre pour se remeetre d'un tel coup innatendu. C'était peut mais cela lui permettra peut être de s'échapper se disait l'enfant, lui revint alors les technique de survie de son père qui d'un seul coup lui parurent bien inutiles face a ce genre de situation, comme savoir quel champignon est comestible et lequel est vénéneux, comment construire un radeau ou un barrage pour attraper du poisson, tout cela était dérisoire désormais. Tandis que sa vision était réduite dans l'obscurité et par les larmes de terreur et de souffrance qui baignaient ses yeux il s'obstinait a courir jusqu'a ce qu'il tombe nez à nez avec une porte en pierre brisée lui bloquant sa course. A ce même instant la bête eu le temps de le rattraper, puis tout crocs dehors, les yeux grands ouverts et les oreilles couchées en arrière, il avançait lentement vers sa proie ensanglanté. Soudain, un écho qui fit trembler légèrement le sol retentis, il venait de derrière la porte brisée, puis des voix dont les mots étairent indéchiffrablent et difficilement perceptibles se firent entendrent. Hériur ne compris pas ce qu'il se passait, encore moins pourquoi cela eu fait fuir le milimulou, mais bien qu'inquiet il en fut grandement soulagé.
Quel choix possible, explorer ce qu'il y a derrière cette grande porte de pierre ou retourner dans la forêt pour être de nouveau la proie du milimulou. Sans lumière, Hériur progressait a tâton, butant sur des gravats et souffrait toujours de sa blessure à la joue. Peut à peut, un voix se fit entendre, elle était grave et profonde, elle indiquait la route au jeune enfant qui pu appercevoir une lueur verte. Il s'en approcha, puis à l'aide de la faible lueur et de la voix, Hériur arriva dans une grande salle circulaire, en son centre un piedestal orné d'une rune luisant faiblement, une pierre flottant dans les air plane au dessus du piedèstale. Elle ressemble à un cristal noir de la taille d'un homme et de plusieurs facettes dont chacune est elle aussi ornée d'une rune émettant une faible lueur verte accentuée par une brume noire s'échapant du sommet du cristaux. Ebahis par un tel spectacle, Hériur s'approche lentement du centre de la pièce, une fois à quelques mètre du joyau en lévitation celui ci ce mit à vibrer légèrement et à ce moment la voix se fit entendre de nouveaux à la grande stupeur de l'enfant blessé.
Joyaux: "Ô toi qui foule ces terres depuis longtemps oubliées, comment te nomme tu ?"
Hériur: "Je...je m'appel hériur."
Joyaux: "Ô toi dont le pas léger et le sang chaud souille ce sol, quelle est ta quête ?"
Hériur: "Ma quête ? je n'ai point de quête, je me suis simplement égaré puis perdu et désormais je suis seul avec une blessure au visage. Je souhaiterais juste rentrer chez moi"
Joyaux: "Ô toi âme égarée, loin de ton foyer. Je t'offrirais le salut en échange du miens"
Hériur: "Vous pouvez m'aider !? oui ! j'accepte. que dois-je faire ?"
Joyaux: "Ô toi avide de retrouver la chaleur des tiens, sache avant toutes choses que mon épopée m'a mené à cette condition. Maudit par Sram pour mon avarice et mon orgueil, je fut condamné à la plus pauvre des conditions, n'ayant que mon âme pour possession. est-tu disciple de Sram ?"
Hériur: "non je n'ai rien à voir avec Sram, ni aucuns autres Dieux d'ailleurs"
Joyaux: "Ô toi qui bénis par ton insignifiante éxistence est invisible des Dieux, je t'offre le pouvoir de Sram, le pouvoir des ombres qui te feront voyager rapidement à l'insu de tes ennemis. Avec ceci tu pourra rentrer chez toi sans craindre les bêtes qui peuples ces lieux, avec ceci tu voyagera parmi les ombres qui seront désormais tes amis"
Hériur: "Et...que devrais-je faire pour vous ?"
Joyaux: "Ô toi curieux de son destin, une marque noire sera sur ta peau, la signature d'un pacte dont je prendrais le dû lorsqu'il me sierra"
Hériur: "Je n'ai pas vraiment le choix, très bien que dois-je faire ?"
Joyaux: "Ô toi désormais frère des ombres et enfant du dieux fourbe aux ailes ténèbreuses, monte sur cette plate-forme en son centre et tu portera le nom que je portais autrefois, Carnésir, qui signifie "Coeur noir" dans la langue ancienne des adorateurs de Sram."
Alors Hériur s'avança sur le piedèstale comme l'avait demandé la curieuse pierre renfermant une âme. A peine eu t-il pris place que les runes luirent de manièrent intenses, le cristal tournoyais sur lui-même de plus en plus vite, la salle se mis à trembler et un vrombissement de plus en plus fort commença. Une douleur pris alors Hériur lui faisant oublier celle de sa joue, une très forte et vive douleur dans le coeur et sur sa peau. Des marques sombres apparurent sur son torse au niveau de son muscle palpitant et plus la douleur s'intensifiait, plus le dessins se profilait. C'était un croissant dont l'intérieur de la courbe se séparais en plusieurs tentacules aux courbes variés se refermant au coeur du cercle comme au coeur de l'être qui le porte. Ainsi les ténèbres entourait son coeur, il le sentait au plus profond de lui, mais étrangement celà lui plaisait car cet élément autrefois inquiétant et opressant s'avèrait maintenant un vaste manteau qui le cacherais de tout ce dont il souhaite. Après toute cette douleur, tout ce bruit, le calme et l'obscurité était revenue, il était temps pour lui de rentrer à son foyer.
Chapitre 3: L'ombre se nourris de l'ombre
Après un retour à son chez soit bien plus rapide et aisé grace à ses nouveaux dons, Hériur fut ravi de retrouver ses parents qui étaient mort d'inquiétudes. Afin de ne pas les tourmenter d'avantage il décida de raconter une histoire bien différente de la réalité, en effet il leurs expliqua qu'ayant cru voir l'un des bouftou de l'élevage s'enfuir dans les bois il s'y est aventuré pour finalement s'égarer et se blesser la joue sur un rocher pointu lors d'une chute. Tant heureux d'avoir retrouvé leur enfant, Kyana et Aliael accepta cette version et n'en tinrent pas ombrage. La vie de la famille repris alors son cours et tout serai redevenu comme avant s'il n'y avait pas la marque noire qui rappelait sans cesse à Hériur ce sombre épisode.
Trois années durant, Hériur continua à grandir au sein de la maison familliale. Ses parents avaient économisé assez d'argent pour lui offrir une instruction dans une école, occupant grandement son temps libre. Si ce n'est la découverte progressive de son nouveau don afin de le maîtriser et sa soif d'apprendre qui le coupa quelques peut du monde et de ses camarades, son éducation fut somme toute bannale. Cependant, lors de ses moments de repos solitaire, des visions soudaines le troublait. Des visions de morts où sa famille, ses connaissances et même des inconnus en étaient les sujets de ses protraits morbides. Elles étaient courtes mais de plus en plus fréquentes, alors, déstabilisé par ces troublantes visions,Hériur se coupa de plus en plus des autres et restait flâner avant de rentrer chez lui afin de chasser ces mauvaises choses puis rentrait lorsque ces pensées n'étaient plus aussi sombres.
Une nuit, alors que le sommeil l'avait embrassé et que les songes agitaient son esprit, une sensation de froid soudain le troublait ainsi qu'une douleur au niveau de son coeur, là où sa marque se situe. Dans son rêve, il traversait de nouveau l'obscure forêt, sentant la terre et les racines couvertent de mousse sous ses pieds, jusqu'au temple en ruine clairement visible grace à l'éclat de la pleine lune. Au sommet du temple, jonché sur une haute statue d'un homme en toge portant deux dagues, une silhouette lugubre aux yeux luisants et aux grandes ailes de chauve-souris l'observait avec attention. Il entra alors dans ce qui vraissemblablement fut un ancien lieux de culte du Dieu Sram, cette fois sa route lui semblait sûre et claire. C'est alors que la lumière verte de la grande salle circulaire enfermant l'étrange pierre fit son apparition, Hériur Carnésir, comme la dernière fois s'en approcha et entra dans la salle pour faire de nouveau face au cristal noir nimbé d'une aura verte. La voix du joyau se fit à nouveau entendre et résonna dans le crâne du jeune homme. L'écho fit si intense qu'une vive douleur se propagea dans son corps puis sa tête qui s'éveilla et repris conscience, c'est alors avec effroie qu'Heriur réalisa que ce n'était pas un songe mais qu'il s'est bel et bien rendu jusqu'a la pierre sans avoir eu le controle de son être.
-Hériur:" Que...mais que se passe t'il !? comment suis-je arrivé là !?" Demanda Hériur, complètement déboussolé.
-Joyaux:" Ô toi l'enfant aujourd'hui jeune homme, qui se trouve ici perdu. Ô toi qui reçut le don des ombres en échange du salut. Il est temps en cet instant pour moi de prendre mon dû."
-Hériur:" Je ne comprends pas, qu'est-ce que vous désir..." en un instant une immense douleur parcouru le corps du jeune homme et le fit mettre genoux à terre. "...AAAAAAAAAAHHHH !!".
-Joyaux:" Ô toi qui foule le monde en toute liberté, par ton corps jeune et solide mais sans pouvoir. Ô moi vieille âme au savoir et au grand pouvoir, immobile dans cet écrin de pierres froides. Je t'ai offert un peut de ce que j'ai, il est temps que je prenne un peut de ce que tu as."
Sur ces mots, la douleur s'intensifia d'un cran, son corps bouillait littéralement. Tandis qu'Hériur souffrait au sol, la pierre se mis à tournoyer sur elle même et à luire plus vivement. Sa vitesse s'accélèra progressivement jusqu'à produire un vrombissement de plus en plus rapide et grave. C'est alors que l'aura verte de la pierre se scinda en plusieurs minuscules éclairs qui frappèrent le jeune homme agonisant, créant ainsi un lien crépitant entre les deux âmes. Hériur vit alors, horrifier, sa peau se mouvoir d'elle même. Elle cloquait par endroit puis se craquait légèrement, jusqu'a ce qu'elle se décole entièrement de ses os, les yeux grands ouverts de par sa stupeur et sa douleur, il observa toute sa chair, son sang et ses veines de ses mains puis de ses avant-bras s'envoler devant lui et être aspirer par l'aura verte et dévoré par la pierre. Progressivement, tout son corps fut atteint par cette étrange affliction et la douleur s'estompait en même temps que ses derniers reste de chair furent aspirés. Etrangement certains de ses sens,sa vue, son ouïe, son odorat, n'en furent pas affectés bien qu'un vide ai remplacé ce qui jadis lui donnait un visage humain et ne laissa place désormais qu'a son crâne.
Plus rien, plus une once de peau, de muscles, de veines ni de sang. Seul les os blanchis du squelette d'Hériur apparaissaient sous ses vêtements déchirés par le sort occulte de la pierre flottante. Elle en avait terminé, lorsque la dernière parcelle du corps du jeune homme fut aspiré, le sombre cristal s'était brusquement arrêté de tournoyer et les éclairs disparurent. Seul quelques symboles inconnus luisaient sur les facettes du joyaux obscure, éclairant faiblement la pièce redevenue soudainement calme.
Chapitre 4: Naissance d'une ombre
Là, dans les ténèbres percées par la lueur verte du puissant cristal, Hériur lui faisait face. Perdu, démuni, le trouble s'insinuait dans son esprit. Il n'était plus qu'un squelette animé par une sombre magie et malgré sa conservation de certaines capacités, ses souvenirs étaient flouent sur sa présence en ces lieux et sur qui il était. Sa voix elle aussi défaillit, perdue en même temps que sa langue. C'est alors que la gemme se mue, elle descendait lentement des airs vers le centre du piedestal en face d'Hériur et lorsqu'elle fut en son contact par un petit choc, plusieurs fissures apparurent à sa base puis progressaient sur sa totalité craquelant sa surface de toute part et laissant échapper par ses failles d'éblouissants flash lumineux. Le cristal noir se désintégra petit à petit dans un violent éclat incandescent qui fit trembler le sol et le temple avec tant de puissance qu'un morceaux du plafond se détacha pour s'écraser non loin du pidestal. L'éclat d'argent de la lune illuminait désormais la salle par le plafond, cela créait une colonne de lumière dont la base était le piedestal. Dans la lumière livide, reflètait les morceaux du cristal éclaté tel une coquille, quelques morceaux de sa base se dressaient formant une coupe où en son sein la silhouette d'un jeune homme recroquevillé se dessinais. Doucement la silhouette déployait ses membres puis se redressa, sous le regard d'Hériur, jusqu'a apparaître distinctement dans la lumière. Un effroie sans nom envahis le squelette maudit lorsqu'il apperçus le visage de l'inconnu, ce visage était le sien, d'ailleurs tout son corps était semblable à ce qu'il fut. C'est alors que sa copie afficha un grand sourire en le regardant droit dans les orbites puis pris la parole.
-Double: "Haaaaa, qu'il est bon d'être de nouveaux quelqu'un. Je te remercie petit homme pour ton "don". HOHAHAHOHOHO ! Bien, maintenant que j'ai volé ce que tu es, je vais voler ceux que tu as"
Il adressa alors un sourire féroce à Hériur qui, de rage, se jetta sur son double. Celui-ci esquiva habilement puis frappa sa rotule de son talon, lui faisant perdre l'équilibre et tomber face contre terre.
-Double: "HOHAHAHOHOHO ! tu semble être moins maître de tes os que moi de ton corps. ENFIN ! je suis libre et jeune, je vais assouvir tout les plaisirs mortelles possibles pour fêter la fin de ma condition. J'étais las de jouer la pierre énygmatique et puissante qui aide le jeune impudent. Dès que j'ai sentis ta présence, je savais que c'était l'occasion parfaite pour me libérer. A dire vrai je ne pensais pas que ça aurais été aussi rapide et facile, ni que tu aurais perduré en tas d'os......bref. Je m'en vais profiter de ma nouvelle vie, enfin, "TA" nouvelle vie. Je te laisse croupir ici, avec un peut de chance tu te fera mettre en pièce par les milimulous qui occuperons leurs dents avec tes os ou alors un aventurier te prendra pour un chafer qu'il faut détruire. Amuse toi bien feu Hériur !
Sur ces mots cruels, le double s'en alla avec un rire moqueur. Au sol, Hériur le regarda disparaître, impuissant. Il se redressa puis s'assis dans les décombres, sa tristesse et son désaroi furent profonds, mais dépourvu de ses yeux nul larmes ne pouvait l'exprimé. Sombrant dans son désespoir, il était certains que sa destiné se résumerais maintenant à rester en ces lieux et être oublié, laissant l'âme voleuse vivre de manière décadente avec son propre corps. Il songea à sa famille, à les prévenirs de la duperie, mais comment le leurs dires sans la parole et avec cette apparence. Cette impuissance le fit plonger dans la détresse et la frustration. Il s'abandona alors aux ténèbres qui le cernait, se résignant à être oublié, mais soudain un murmure. Un léger chuchotement qui l'appelait par son nom.
Sujet: Hériur Carnésir, Sram au coeur d'ombre. 
Jeu 29 Déc - 5:53
Je sais pas quoi dire d'autres. Ah, si, en fait : 
xD